7eme Impulsions

Pour la petite histoire, ya quelque années j'etais en 5 eme pour le systeme francais, je n'avais donc que 12 13 ans
Je faisais pas latin, j'avais donc des heures de permanence un peu trop souvent
J'ai donc pris un bloc note et ecris un petite histoire ( le debut xD )
j'ai d'ailleurs encore les brouillons chez moi ^^
j'ai retranscrit l'histoire ( le style etait vraiment gamin xD )
voili voulou, donnez votre avis merci

Un grand merci a ma correctriceuh qui ce reconnaitra ^^




Chapitre 1 : Traqué

Le monde que nous connaissons n’existe plus. Le monde de l’âge industriel humain est fini. L’ère des machines est en marche. Nous sommes en 2132.

Les drones de surveillance, les soldats robotique, et toute sortes d’androïdes ont vues le jour en 100 ans d’histoire. La police et l’armée, contrôlées par des politiciens corrompus ou fous, utilisent des droides de recherche, de combat ou d’assassinat pour assoir leur domination. La presse a été réduite à une seule information diffusée et contrôlée par l’état, tout journal ou autre moyen d’information est jugé illégal. Désormais, le monde est sous contrôle mécanique et électrique. Nul n’est assez fou pour affirmer ou revendiquer encore la liberté ou l’indépendance de l’humanité.

Mais comme de tout temps, l’Homme voulu égaler Dieu, voir le dépasser… Après les machines, les expériences sur le génome humain débutèrent. Ceci afin de guérir toutes les infirmités et maladies de la race humaine et détruire la part de faiblesse que celle-ci a de naturelle en elle…

Des manipulations sur toute sortes d’insectes et d’animaux furent associées à ce projet top secret. Récupérer leurs dons naturels de régénération, leurs talents pour les acrobaties, leur force ou leurs méthodes de camouflages et les transmettre à l’Homme dans un but thérapeutique premièrement, puis pour créer des surhommes. Des machines de guerre humaines.

Il s’en suivit de longue années d’études où les expériences amenèrent à créer des monstres ni homme ni animal; des aberrations qui furent appeler Epsymal.

Ces monstres servirent à faire progresser la recherche. Des manipulations sur les gènes de ces créatures permirent aux chercheurs d’avancer et d’approcher de leur but. Le 23 Mars 2082, une défaillance dans le système de contrôle des secteurs de haute sécurité de la base de confinement des spécimens les plus dangereux provoqua l’ouverture des portes de l'intégralité des cages qui renfermaient ces monstres. Des milliers de monstres s'échappèrent alors dans la nature. Envahissants toutes sortes de lieux déserts, délaissés et abandonnés par les humains, s'y reproduisant, et se propageant sur toute la surface de la planète.

Malgré cela, les recherches continuèrent et des machines furent chargées d’éliminer ces monstres. Le nombre de ces créatures grandissant trop vite, l'armée fut submergée et leurs actions devinrent bientôt inutiles face à celles-ci. Les chercheurs mirent finalement au point un antigène pour soigner plusieurs pathologies et maladies incurables chez l'Homme. En 2116 une campagne de vaccination des malades et infirmes les plus gravement atteints fut mise en place, mais les résultats furent tout autres qu'escomptés… Et les conséquences désastreuses…

… … …
Connexion établie…
« MarØdian… »
« IronspIke… Notre connexion était prévu dans 2,3 cadrans »
« … »
« Il me faut ces informations plus tôt, le transfert a été avancé… »
« Tu nous mets en danger tout les deux en nous exposant de cette façon… »
« Mais… »
« Je sais qui elle est pour toi, mais tu ne dois pas jouer nos vies aussi inconsidérément. Je t’envoies les infos, je finis juste le cryptage. »
« Merci… Au fait, j’ai des news pour toi. Des A-Stealth-34 ont été affectés à la surveillance furtive dans ton secteur, fais attention à toi… »
« Tes sources sont-elles sûres ? »
« C'est Ambrosy qui m'a mi au jus. Tu sais que l’on peut lui faire confiance au sujet de ...! »

Tracing 100 %
... … …
Déconnexion

« Merde… »

Un silence pesant s’en suivit… Un rayon bleuté passa par la fenêtre à moitié obstruée par des stores métalliques en piteux état, des drones d’espionnage était en train de scanner la pièce où MarØdian se trouvait, cherchants et traquants les personnes atteintes du virus, mutants ou opposants au règne de terreur qui oppressait le pays depuis plus de dix ans.

MarØdian se leva d’un bon, activa le système d’explosif installé préalablement dans son appartement en plusieurs points stratégiques pour détruire toute preuve de son passage ici.
Le silence persistait, dehors.

MarØdian s’approcha de la fenêtre, écarta deux lamelles de métal du store, pour voir au dehors. La rue était calme; deux sans abris étaient assis en bas de l’immeuble et cela faisait plusieurs jours qu’ils y étaient…
Maintenant qu’il y pensait, pourquoi deux sans-abris resteraient-ils au même endroit, sans bouger, pendant 2 jours? C’était complètement improbable! Les SDF potentiellement porteurs de maladies, étaient traqués, rassemblés et exécutés pour le "bien de l'humanité" .Une goutte de sueur perla sur son front…

Ils était espionné depuis quelques jours, et il ne s'en était pas rendu compte. Il se retourna; quelque chose lui semblait étrange. Il fit quelques pas dans l’appartement, puis s'immobilisa pour observer autour de lui. Quelque chose ne tournait pas rond. Il n'y avait pourtant que le silence... Le bruit! Le détonateur ne faisait plus de bruit!!

MarØdian eu à peine le temps de comprendre que les drones avaient débranché le détonateur, qu’il reçu un puissant choc au visage. L’invisibilité de l’androïde s’estompa. C’était un assassin! Machine humanoïde de deux mètres de haut, muni de quatre bras articulés. Ce genre de machine était utilisé pour la traque, l'infiltration, et donc pour l’assassinat. Elle possèdait une quantité imprévisible d'armes en tout genre. Il en existait plusieurs modèles, et heureusement, celui-ci était ancien.

MarØdian voltigea à travers la pièce, propulsé par la puissance du coup. Il heurta la fenêtre, la fracassant, et tomba à l'extérieur de l'immeuble. Son appartement se trouvait au huitième étage. Il eu le réflexe et tout juste le temps d'attraper une grenade qui était attachée à son ceinturon pour la lançer par sa fenêtre. L'explosion ne suffirait surement pas à éliminer l'androide, mais du moins, il aurait peut-être le temps de fuir. L'appartement s'embrasa dans une grande explosion.

MarØdian était en chute libre, mais l'explosion de son appartement le poussa suffisamment pour lui permettre de se rapprocher de l'immeuble face à celui dont il tombait. Il attrapa du bout des doigts le rebord d'une fenêtre du quatrième étage. Un humain normalement constitué aurait lâché prise immédiatement, mais son exo-squelette lui permit de tenir bon et du même coup interrompre sa chute. Il souffla un instant. Il regarda en bas de l'immeuble, et s'apercevant que les deux SDF n’étaient plus là, il ne put s'empêcher d'esquisser un petit sourire. Il découpa la vitre de la fenêtre voisine à l’aide d’un petit laser et se glissa à l'intérieur de la pièce. C’était une chambre d’enfant. Le papier-peint était en rose, la chambre était peu meublée. un bébé de quelques mois hurlait dans son berceau. MarØdian se précipita derrière la porte lorsqu’il entendit des pas se rapprocher de la chambre. Une femme, qui devait être la mère de l’enfant fit irruption dans la pièce. Elle prit l’enfant dans les bras, et sortit rapidement de la chambre, sans apercevoir le trou dans la vitre.

MarØdian était en danger, il le savait. Depuis maintenant vingt deux mois qu’il était devenu un Hors-la-loi. Jeune pirate informatique, handicapé par une maladie de naissance qui rendit ses jambes trop faibles pour le soutenir lors d'efforts trop importants, il fut vacciné, comme tout les autres malades, mais les effets miracles n’apparurent pas. Au lieu de cela, il contracta une maladie qui le força à rester à l'écart des rayons du soleil. De crainte d'effets négatifs sur sa santée. Les effets s’estompèrent au bout de quelque mois, et ses jambes étaient toujours aussi peu fiables.

MarØdian fit un jour une découverte intéressante, lorsqu’il pirata le serveur d’une unité d’armement basée à Vodias, une grande ville qui fut autrefois célèbre pour son festival cinématographique qui n’existait désormais plus. L’armée fabriquait des appareils multipliants les forces physiques humaines, plus communément appelés exo-squelettes. À peine avait-il fini de lire ces dossiers que son esprit s'éclaircit. Il y vit l'occasion de se mouvoir hors de son appartement sans difficultées. Il n'aurait plus besoin de traitement médical qui d'ailleurs ne fonctionnait pas correctement.

Deux semaines plus tard, MarØdian reprit contact informatique avec l'un de ses correspondants, un pirate. Celui-ci aurait sans doute la possibilité de lui trouver un modèle de ces exo-squelettes. La livraison du matériel fut relativement curieuse; un paquet était apparu dans l’appartement de MarØdian au beau milieu de la nuit, et aucune trace d'effractions n’était visible.

Il fut tout d’abord satisfait de voir que l'exo-squelette possédait une excellente maniabilité, mais ce qui le surprit le plus, c'était que les capacités qui lui étaient octroyées étaient bien meilleures que dans ses rêves les plus fous... Ses compétences physiques et ses aptitudes au mouvement n’en furent pas seulement compensées, mais aussi grandement améliorées.

Quelque jours après la livraison, lorsqu’il eu prit conscience de ses nouvelles facultées mécanique, deux pirates, nommés Zabber et Optimus334 le contactèrent alors pour lui montrer le monde tel qu’il l’était vraiment. Il ignorait qu'il vivait dans un monde si faux, ou les citoyens étaient totalement manipulés... Il avait trouvé quelques informations intéressantes, mais il ne s'était pas douté que ça pousserait aussi loin. Ils firent de lui l’un des leurs. Des pirates informatiques, qui travaillaient seuls dans l’ombre, ne connaissants les autres membres de ce réseau que par leurs pseudos, partageants des données piratées. agissants seuls et atteignants leurs objectifs, la liberté de la population et de la presse, et rendant au monde les couleurs d’autrefois. Redonner un peu de saveur à la vie humaine…

"Un monde gagné pour la technique est perdu pour la liberté."
Georges Bernanos

Depuis ce jour, les événements ce sont précisés et amplifiés. Il était désormais traqué, changeant souvent de planque, ne laissant aucune traces. Il devait utiliser des connexions sécurisées, ne pas laisser de preuves d’achat ou quoi que ce soit. Tel était devenu son quotidien. Même les commandes en armes et équipements qu'il faisait passait par le réseau de pirate Freiheit; le mot fut utiliser par les forces de l’ordre ou plutôt du désordre pour appeler ces pirates les freiheiter…

Bravo!

Intéressant